14 octobre 2024 : Conférence musicale

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Dans le cadre des Journées Européennes de la Culture et du Patrimoine Juifs (JECPJ)

Lundi 14 octobre 2024 à 19h30, le FARBAND, en partenariat avec ANIMA, vous propose à 19h30 une conférence musicale avec Mirélè Rozen et Didier Lapostre :

Quand la généalogie dévoile des origines insoupçonnées : destins croisés de deux familles juives

Mirélè Rozen-Didier LapostreMirélè Rozen et Didier Lapostre ont en commun d’avoir tous deux levé le voile sur leurs ascendances juives, ignorées par leurs propres familles.

Mirélè, après s’être prise de passion pour les chants et la langue yiddish, retrouve des lettres de son arrière-grand-père, datées de la fin du 19ème siècle, évoquant sa judéité et son amour pour une femme catholique.

Didier, historien, découvre que ses aïeuls étaient des colporteurs juifs lorrains, alors que la légende familiale évoquait une princesse russe dépouillée de ses biens.

Tous deux nous révèleront les destins de ces familles juives, dans un échange entremêlé de chants en yiddish et en français interprétés par Mirélè Rozen, ainsi que leurs ouvrages publiés aux éditions Anima & Cie : « Les petits secrets d’Antoinette-Alice Daltroff » de Didier Lapostre et Chantal Panagopoulos et « Rose en ciel », livre-CD de Mirélè Rozen.

La soirée débutera par une collation servie à table.
PAF : 20 €
Inscriptions et réservations par mail : secretariat@farband.org

FARBAND5 rue des Messageries ,75010 PARIS / TÉL. 01 45 23 50 63
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5 décembre 2024 : Récital du pianiste Ingmar Lazar

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Photo : Jean-Marc Gourdon

Salué par le magazine Classica pour son « magnétisme et impressionnante maturité », le pianiste Ingmar Lazar fait partie des musiciens français les plus distingués de sa génération. Il donnera un concert le  jeudi 5 décembre 2024 à 20h à la  Société Historique et Littéraire Polonaise Bibliothèque Polonaise de Paris

Au programme :
Frédéric Chopin : Polonaise Op. 44  – 3 Mazurkas Op. 59 – 2 Nocturnes Op. 48

César Franck  :  Prélude, Choral et Fugue

Felix Mendelssohn :  Variations sérieuses Op. 54

Franz Liszt :
– Der Wanderer (extrait des « 12 Lieder von Franz Schubert, S.558 »)
– Paraphrase de concert sur la marche nuptiale et danse des sylphes du Songe d’une nuit d’été S.410

Pour en savoir plus sur Ingmar Lazar (dossier de presse)

Tarifs : Normal : 25 € – réduit : 20 € (étudiants* -26 ans) 18 € (enfants -12ans)
Pour réserver, cliquez ici

Société Historique et Littéraire Polonaise Bibliothèque Polonaise de Paris : 6 Quai d’Orléans 75004 Paris M° Pont Marie (ligne 7)
INGMAR LAZAR_3 Logos_2024

Seconde édition revue et augmentée : Ne pleurez pas, mes fils… par Eva Golgevit

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Ne pleurez pas, mes filsLa solidarité est au cœur de la vie d’Eva. Cette femme juive d’origine polonaise, au dynamisme peu commun, s’est toujours investie dans ce sens. Dès septembre 1940 à Paris, où elle s’est mariée et a donné naissance à son premier fils, elle s’engage dans le groupe Solidarité, section juive du mouvement de résistance communiste de la MOI (Main-d’œuvre immigrée).
Au mème titre que ces héros de la Résistance, son arrestation est le résultat de filatures des Brigades spéciales françaises. Emprisonnée, comme la majorité de son réseau, elle est déportée par le convoi n° 58 du 31 juillet 1943. Son groupe est soudé par un double lien de solidarité et d’amitié. A son arrivée à Auschwitz début août 1943, elle est projetée dans l’un des lieux les plus terrifiants et abjects de cet enfer : le Block 10 où les nazis pratiquaient des « expériences médicales » sur des cobayes humains. Durant dix mois, elle parvient cependant à échapper au pire, physiquement et psychiquement. C’est encore grâce à sa force morale et aux complicités qu’elle suscite qu’avec quelques camarades, elle sort de cet enfer, puis de celui de Birkenau où s’achève alors l’extermination massive des Juifs de Hongrie. Après environ trois mois, Eva parvient à être transférée dans un camp annexe d’Auschwitz, Rajsko (ferme agricole expérimentale), dans lequel les conditions de survie sont relativement moins dures. En janvier 1945, devant l’avancée de l’Armée rouge, les nazis procèdent à l’évacuation des camps entrainant dans leur fuite éperdue les survivants de cet enfer. Avec ses deux camarades encore en vie, Eva aura survécu à trois « marches de la mort » qui la mèneront aux camps de Ravensbrück et de Malchof.
Au-delà des horreurs dont elle témoigne dans son récit, Eva livre à ses fils et au lecteur un chant d’espoir empreint de cette foi en la vie dont elle ne s’est jamais départie. Lire la suite…

26 juin 2024, spectacle musical : Contes de Bobé

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Pour familles et enfants à partir de 6 ans
26 juin 2024 à 15h
Entrée libre sur réservation en cliquant ici.
Mairie de Paris Centre, 2, rue Eugène Spuller, 75003 Paris
M° Temple – République (lignes 3, 5, 8, 9 et 11)

Couverture_Livre_Contes-de-BobeDeux contes merveilleux, tendres et poétiques, qui parlent d’un monde où un oiseau vole à la recherche de couleurs qu’il offre à ses amis, où le vent console l’arbre en peine, où des amis se perdent et se retrouvent.

Paroles et chants yiddish ou d’Europe du Nord s’entremêlent au son du « coquillophone », des papiers de soie et autres instruments surprenants.

Un spectacle interactif pour éveiller les enfants à la magie des sons et au yiddish, qui transportera petits et grands dans un univers féérique et coloré.

Mirélè Rozen, chant et conte. Cristina Agosti-Gherban, chant et accompagnement musical. Edith Apelbaum, autrice des Contes de Bobé, livre paru aux éditions Borealia.Logo_Anima-Festival des Cultures Juives_2024_V2

23 juin 2024 : Dialogue pour une éthique de la parole – Il faut voir comme on se parle

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Jamais l’Humanité n’a autant pris la parole. Tout le monde s’exprime, mais est-ce qu’on s’écoute ? Il faut voir comme on se parle…de plus en plus mal. La parole est souvent vide de sens et pleine de violence. On l’éprouve chaque jour, au travail, à l’école, dans la rue, dans les médias. On confond clash et dialogue. On parle de plus en plus, on se parle de moins en moins. Comment fonder une parole juste et responsable ? Comment apprendre à surmonter la violence, à maîtriser sa parole, à se relier, à écouter ? A travers leurs travaux respectifs, Gérald Garutti et Yana Grinshpun investissent le champ de la parole et ses diverses facettes, son pouvoir, ses ruses, sa magie, pour en délivrer le pire…et le meilleur.

Avec Gérald Garutti, fondateur et directeur du Centre des Arts de la Parole, metteur en scène et écrivain et Yana Grinshpun, fondatrice de l’Institut du Discours, linguiste, maître de conférences à l’université Sorbonne-Nouvelle. Lire la suite…

14 Janvier 2024 : Shelomo Selinger : « Je sculpte ma vie » / Hommage et témoignage

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Le Centre d’Art et de CultureAnima & Cie, rendent hommage à Shelomo Selinger, l’un des derniers survivants de la Shoah, artiste sculpteur à l’œuvre féconde.

En présence de Shelomo Selinger, au cours d’un après-midi à l’Espace Rachi, témoignages, projections, échanges et musique – accompagné de ses deux petites-filles musiciennes – reviendront sur l’histoire de cet artiste inclassable et son parcours de vie, dont il dit « la nature m’a donné l’oubli pour me reconstruire, l’art a fait la suite ».

Animé par le journaliste Frédéric Haziza

Dimanche 14 janvier 2023, à 16h
  au Centre d’Art et de Culture Juive. 39 Rue Broca, 75005. Réservation obligatoire en cliquant ici. (lien tout en bas de la page)

Au programme :
– Focus sur les œuvres phare de Shelomo Selinger (sculptures et dessins) par Jean-Patrick Razon, ethnologue
– Pause musicale par Aliza Leneman, violoncelliste, 14 ans, petite-fille de Shelomo Selinger
– Projection du documentaire Les 7 vies de Shelomo Selinger de Carlos Alvarez (2021) suivie d’un échange entre le public et Shelomo Selinger
– Clôture musicale par Lior Leneman, violoniste, 18 ans, petite-fille de Shelomo Selinger.

Shelomo Selinger est né en 1928 en Pologne, au sein d’une famille juive. Déporté en Allemagne avec son père en 1942, il connaîtra neuf camps successifs et deux marches de la mort, avant d’être trouvé en 1945, à demi-mort, par un médecin juif venu avec l’armée soviétique libérer Térézin en Tchécoslovaquie.
Pris en charge, Shelomo recouvre la santé mais reste amnésique pendant sept ans. Il a perdu ses parents, ainsi que l’une de ses deux sœurs. Cet état amnésique ne sera pas éternel, et, au bout de sept années les souvenirs de déportation reviendront le hanter, par des cauchemars nocturnes.

Après une traversée clandestine de l’Allemagne, la Belgique et la France, Shelomo embarque en 1946 à La Ciotat sur le bateau Tel-Haï pour la Terre promise. Le pays était  alors sous mandat britannique qui interdisait aux juifs d’y entrer. Les marins de la Royal Navy interceptent le navire, arrêtent les passagers et les emprisonnent au camp d’Atlit.

A sa libération, Shelomo rejoint des jeunes au Kibboutz Beit-ha-Arava. Au bord de la Mer Morte. Afin de pouvoir planter, ils ont dû laver la terre avec l’eau venant du Jourdain car la terre contenant 17%  de sel. En 1948, Shelomo combat durant la guerre de l’indépendance de l’État d’Israël. Beit-ha-Arava est détruit par les ennemis. Shelomo participe à la fondation du kibboutz Kabri en Galilée. Il y rencontre Ruth Shapirovsky, qu’il épousera en 1954.

La rencontre avec Ruthy, sa femme, et le début de sa sculpture qui en coïncidait, l’aidaient à canaliser ses angoisses, revenues au retour de sa mémoire des années aux camps nazis. La sculpture et le dessin lui redonnent son équilibre et un cadre pour ses expressions et créations artistiques.

Fin 1955, Il recevra en Israël le Prix Norman pour les jeunes sculpteurs, et  arrive en 1956 à Paris avec sa femme pour apprendre la sculpture. Il s’inscrit  à l’École des  Beaux-Arts, pour suivre les cours du sculpteur Marcel Gimond . Il apprendra le modelage traditionnel de la terre glaise. Parallèlement, il continue ses créations personnelles à la taille directe du matériau (granit, grès rose des Vosges et bois). En 1962 Il rencontre le galeriste Michel Dauberville qui, depuis, l’expose régulièrement.

Son œuvre sculptée comprend à ce jour environ 900 créations de tous formats et matériaux, et son œuvre graphique, à l’encre de Chine et au fusain, se chiffre par milliers.

Plusieurs de ses œuvres témoignent de la Shoah, mais la majorité de ses créations est un hymne à la vie.

22 octobre 2023 :  » Hanina « , spectacle musical.

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Spectacle Hanina JEPCJ 2023Une création de la  Compagnie Transmosaïk,
Hanina, revisite les chants de noces séfarades de l’Ex-Empire Ottoman.

De tradition orale et appartenant à un patrimoine familial, les chants de noces séfarades évoquent en langue judéo-espagnole des rituels de mariage allant du choix du partenaire à la cérémonie religieuse…

Cette création originale pour 4 artistes (Yaël Morciano : Création, Direction artistique, Chant ; Guillaume Juignier : Ney, Clarinette, Kaval; Evangelos Vettas : Bouzouki; Nicolas Derolin : Percussions) invite à la découverte de nombreux rituels à travers des chansons originaires de Turquie, de Bulgarie, de Yougoslavie et de Grèce.

Un répertoire féminin au cœur du maintien de l’identité séfarade.

Au Cercle Bernard Lazare, 10 Rue Saint-Claude, 75003 Paris
dimanche 22 octobre 2023 à 15h
Réservations par téléphone au 01 77 11 21 38
Tarifs : 18 €

10 au 31 janvier 2023 : « A rendre à Monsieur Morgenstern en cas de demande » – Théâtre

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Frédéric Moulin : « À rendre à M. Morgenstern en cas de demande » est un spectacle écrit à partir de documents authentiques (lettres, photos, passeports, certificats médicaux, courriers administratifs, rapports de gendarmerie, permis de séjour…). C’est le parcours d’une famille traquée qui s’en est sortie.
À rendre à M. Morgenstern en cas de demande_02Une découverte extraordinaire.
La vie de Sabine bascule le jour où elle découvre dans les affaires de son grand-père, imprimeur à Lyon pendant la Deuxième Guerre, une centaine de papiers personnels de Monsieur Léopold Morgenstern, réfugié ex autrichien. Sur la couverture du dossier, une note : À rendre à M. Morgenstern en cas de demande. Comme une enquête. Recherches, rencontres, témoignages, révélations. Immersion dans l’intime et l’Histoire. La jeune femme décide de rendre les documents aux descendants de Léopold. Elle plonge dans l’absurdité de cette époque effroyable et affronte les non-dits de sa famille. Avec un regard incisif et tendre, Sabine partage son expérience de reconstruction de mémoire. »
Juin 2022 – Frédéric Moulin retrouve enfin un descendant de Monsieur Morgenstern… Lire la suite…

16 février 2023 : Pluralité des compositeurs juifs

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« Ingmar Lazar joue splendidement, d’une façon aussi réfléchie, analysée que spontanée, concentrée qu’instrumentalement libre. Tout est juste et naît d’une lecture précise du texte. »   Alain Lompech Diapason, 2019 .

Dans ce programme inédit, le pianiste Ingmar Lazar vous propose une performance qui reflète toute la richesse et la diversité des compositeurs juifs, ainsi que la manière dont ils se sont inspirés de leurs contemporains, en les influençant à leur tour. Influence folklorique et virtuosité, découvrez des pièces d’une grande intensité, ainsi que des compositions qui ont marqué à jamais l’histoire de la musique !

Ingmar Lazar : pianiste,   Clara Ponsot : comédienne 

Ingmar-Lazar_pianisteNé à Saint-Cloud en 1993, Ingmar Lazar montre un talent de pianiste exceptionnel dès sa plus tendre enfance. A l’âge de six ans seulement, il se produit pour la première fois à la Salle Gaveau et remporte par la suite de nombreuses récompenses et prix, comme le prix du piano de la Fondation Tabor au Verbier Festival. 
Il est également nommé lauréat à plusieurs reprises, en 2016 de la Fondation Safran pour la Musique ou encore en 2020 des Ateliers Médicis. 

Ancien élève de Valéry Sigalevitch et d’Alexis Golovine, il a fréquenté les instituts les plus prestigieux d’Europe, dont la Hochschule für Musik, le Theater und Medien Hannover, l’Académie Internationale de Piano du Lac de Côme et le Conservatoire de la Suisse italienne à Lugano. 

Jeune pianiste ayant fréquenté les plus grands noms de l’univers musical, parmi lesquels Pierre Amoyal, Nicolas Dautricourt ou encore Giuseppe Gibboni, présente une discographie encensée par la critique et n’hésite pas à sortir des sentiers battus, avec l’interprétation des œuvres de Jean-Philippe Rameau ou Mieczyslaw Weinberg. [Dossier de presse d’Ingmar Lazar en cliquant ici]
Clara_Ponsot_comédienneÉlevè du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique, Clara Ponsot est une actrice française connue pour ses rôles dans les films
Bus Palladium, Les Infidèles, Bye Bye Blondie et Des gens qui s’embrassent
Ainsi, en 2006, nous la découvrons sur le petit écran dans de célèbres feuilletons comme
Madame le Proviseur, Commissaire Moulin ou Avocats et Associés. Puis, elle démarre dans les salles obscures avec La Possibilité d’une île (aux côtés de Benoît Magimel et Arielle Dombasle), le film de l’auteur Michel Houellebecq en 2008. 
Par la suite, on la remarquera avec quelques rôles dans des films.  

Mais c’est en 2012 que la jeune femme explose le grand écran. Tout d’abord dans le film
Les Infidèles (dans le segment intitulé Lolita et réalisé par Eric Lartigau), dans lequel elle incarne la jeune Inès, 19 ans, jeune femme fraîche et fascinante, au charme fou, qui fait perdre la boule à Gilles Lellouche. Puis, dans Bye Bye Blondie de Virginie Despentes, où elle incarne Emmanuelle Béart adolescente, pour un rôle aussi sulfureux qu’évanescent. Cette année-là elle rejoint également le casting du film Des Gens qui s’embrassent de Danièle Thompson, en salles en 2013.

16 Février 2023 à 20h
TARIFS  :  Catégorie 1 : 26,00 € –  Catégorie 2 : 21,00 € – Catégorie 3 : 16,00 € –
Catégorie PMR : 16,00 € – Diffusion en direct : 8,00 €

Espace Rachi  Guy de Rothschild, 39, rue Broca, 75005 Paris
01 42 17 10 36 info@culture-juive.fr

Réservation en ligne en cliquant ici
Un événement co-produit par Anima &Cie et le Fonds Social Juif Unifié

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29 Septembre 2022 : « Rose en ciel »

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Rose en Ciel_MandapaUne femme découvre de vieilles lettres. Surgissent alors évènements et personnages du passé, reconstituant ainsi une mémoire familiale ensevelie. Mêlant intimement récit (en français) et chants yiddish, ce spectacle empreint d’humour et d’émotion, aborde des thèmes universels : la quête d’identité,
la transmission, la tolérance et l’amour.

Mirélè Rozen, loin de se douter de ses origines, s’est découvert une passion pour les chants yiddish et participe dès 2005 au livre-CD « Comptines du Jardin d’Eden » (Didier Jeunesse). En 2017, elle crée, à partir de lettres familiales retrouvées, un spectacle théâtral et musical qu’elle adapte en un livre-CD « Rose en ciel », sorti fin 2021 aux éditions Anima & Cie

29 septembre 2022, à 20h 30 au Centre Mandapa, 6 Rue Wurtz, 75013 Paris

Tarifs : Plein Tarif = 16 €  Tarif Réduit : 12 €  Tarif  enfant : 8 €
Pour réserver, cliquez ici. ou par mail au reservations@centre-mandapa.fr