14 octobre 2024 : Conférence musicale

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Dans le cadre des Journées Européennes de la Culture et du Patrimoine Juifs (JECPJ)

Lundi 14 octobre 2024 à 19h30, le FARBAND, en partenariat avec ANIMA, vous propose à 19h30 une conférence musicale avec Mirélè Rozen et Didier Lapostre :

Quand la généalogie dévoile des origines insoupçonnées : destins croisés de deux familles juives

Mirélè Rozen-Didier LapostreMirélè Rozen et Didier Lapostre ont en commun d’avoir tous deux levé le voile sur leurs ascendances juives, ignorées par leurs propres familles.

Mirélè, après s’être prise de passion pour les chants et la langue yiddish, retrouve des lettres de son arrière-grand-père, datées de la fin du 19ème siècle, évoquant sa judéité et son amour pour une femme catholique.

Didier, historien, découvre que ses aïeuls étaient des colporteurs juifs lorrains, alors que la légende familiale évoquait une princesse russe dépouillée de ses biens.

Tous deux nous révèleront les destins de ces familles juives, dans un échange entremêlé de chants en yiddish et en français interprétés par Mirélè Rozen, ainsi que leurs ouvrages publiés aux éditions Anima & Cie : « Les petits secrets d’Antoinette-Alice Daltroff » de Didier Lapostre et Chantal Panagopoulos et « Rose en ciel », livre-CD de Mirélè Rozen.

La soirée débutera par une collation servie à table.
PAF : 20 €
Inscriptions et réservations par mail : secretariat@farband.org

FARBAND5 rue des Messageries ,75010 PARIS / TÉL. 01 45 23 50 63
Affiche-JECPJ-2024_grand--scaled

23 mars 2018 – Exposition Isaac Celnikier « Registres de vie »

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Anne et 2018-04-23_Celnike_Isaac devant scene familialeVernissage le 23 mars à 19h à la Bibliothèque Polonaise de Paris

Exposition du 23 mars au 28 avril 2018

Exposition d’œuvres peintes et gravées d’Isaac Celnikier  (1923-2011)

C’est sur deux grands registres en effet que s’inscrit l’univers pictural de l’artiste : celui de la mémoire du Ghetto et de la Shoah, qui a hanté l’homme jusqu’à la fin ; et celui du retour à la vie, de l’apaisement, la passion du monde sensible, la joie. Le public pourra découvrir d’une part un ensemble de gravures et de tableaux consacrés aux désastres de la guerre, et en contrepoint une série de toiles à l’intense palette coloristique : portraits, nus, maternités, paysages et natures- mortes.

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3 mai – 2 juin 2017 : « J’ai mis le jour dans la nuit » – Exposition Thomas Gleb

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Carton d'invitation Exposition GLEB« Ne vois-tu pas que ces signes s’ouvrent à nous comme des espoirs et qu’ils portent en eux la vie comme l’homme son âme ? Ne vois-tu pas que ces signes se lèvent et nous regardent à travers l’oubli, le temps aveugle et le devenir » (correspondance inédite) « Voir l’immensité interne, la libérer, comme un fakir au cirque tirant d’un petit anneau des dizaines de foulards… le dedans un trésor caché » (extraits du Journal de Thomas Gleb) Lire la suite…

Mardi 03 mai 2016 – Guta Tyrangiel Benezra au Cercil

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Guta Tyrangiel Benezra« Je laisse des traces… alors j’ai vécu »

Alors que sa mère et sa sœur Hannah ont été assassinées dans un camp en janvier 1943 et que son père, peu après, a été assassiné dans le ghetto de Varsovie, Guta, née dans le ghetto en 1940 survivra grâce à un polonais qui la cachera et la traitera comme sa propre fille. Aidée par ce père d’adoption, elle se retrouve à Strasbourg dans les années soixante et entreprend des études supérieures. Elle s’y marie avec Claude, Juif marocain. Le couple aura deux enfants, Annouchka et Patricia. Puis c’est le Canada où la famille se retrouve à Ottawa. Au début des années 80, elle choisit de vivre ses dernières années en Israël, auprès de ses filles et de ses petits‐enfants.

Guta Tyrangiel Benezra, Le grand témoin du Cercil.
Dans son livre, L’Ombre des préjugés, récit autobiographique publié en 2014 par les éditions L’Harmattan, Guta dévoile son destin non par choix mais par nécessité…

Organisé avec Anima & Cie et Loire Vistule
Guta Tyrangiel Benezra ©TDR

Musée‐Mémorial des enfants du Vel d’Hiv – Orléans

Claude Gutman – Le cosaque de la rue Garibaldi

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Photo GUTMAN 19-06-2015Le divorce de ses parents le conduit en France avec son père. Sa mère demeurera au kibboutz Sdot-Yam (Césarée) qu’il évoquera dans ses ouvrages.
Professeur de lettres, il quittera l’enseignement en 1988 pour se consacrer à son écriture et à celle des autres. Il crée aux éditions Syros la collection Croche-Patte, puis dirige Page Blanche (Gallimard). Il quitte Gallimard pour les Éditions du Seuil où il fonde la collection Fictions-Jeunesse. Lire la suite…

Lundi 23 Mars 2015 : Hommage à Barbara par l’ensemble Atzegana

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Les musiciens d’Atzegana avaient cofondé jadis « Le grand Klezmer », ensemble dédié aux musiques juives d’Europe de l’Est, ainsi que « Trio Urbain » dédié à la chanson, au jazz manouche et à la danse. À cet ensemble s’est adjoint Manuel Faivre, guitare, compère de Thomas Ohresser, trompette, au sein du groupe Hot SA (swing manouche) afin d’étoffer les arrangements…

Sous le nom collectif d’Atzegana, ils perpétuent dorénavant ces divers et vastes répertoires.

Coralie Pradet : Chant – Renato Tocco : Accordéon – Franck Séguy : Piano

Lundi 23 Mars 2015,  20h30 à l’Espace Rachi-Guy de Rothschild :
39 Rue Broca  75005 Paris

Parking Place des Patriarches – M° Censier-Daubenton – Gobelins
Bus : 21 – 27- 47- 91-83

Renseignements et réservations : 01 42 17 10 38 ou  www.culture-juive.fr/
Tarifs :  normal : 20 € –  Réduit : 15 €

Jeudi 2 Juillet 2015 : Inspirations juives et tzigane  » Par Chants et par Mots « 

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Savez-vous combien de compositeurs classiques, juifs et non-juifs, se sont inspirés des diverses traditions musicales juives, pour nous donner certaines des plus émouvantes pages de l’art lyrique ? La musique tzigane elle aussi, est à l’honneur chez bien des compositeurs. 
Ces deux mondes sonores, qui ont partagé dans leurs errances bien des zones géographiques, de la Russie, aux Balkans, à l’Espagne… se croisent parfois.
De Brahms ou Dvorak en passant par Ravel et Milhaud, Laks et Milner, jusqu’à Chostakovitch, qui nous dit :
« La musique folklorique juive a fait une très forte impression sur moi. Je ne me lasse jamais de m’y plonger. Elle montre de multiples facettes : elle peut apparaître joyeuse alors qu’elle est tragique. C’est presque toujours du rire à travers des larmes »