Alors que la voix de Sofia Folkovitch met en évidence les origines et la saveur juives de la musique, le jeu de l’organiste Raphaël Tambyeff introduit la musicalité de la musique religieuse occidentale.
La voix de Sofia Falkovitch est riche et colorée et son interprétation de la musique est emplie d’âme et de profondeur.
Tous ces éléments reflètent magistralement à la fois la signification du texte hébraïque ainsi que les modalités et les nuances soudaines des modes de prières ashkénazes.
La presse en parle :
« Une artiste exceptionnelle » Tribune Juive
« Une pionnière qui a su trouver sa voie et son style » Deutsche Welle TV
« Sa voix renversante a convaincu même les plus sceptiques » WDR (Radio Allemande)
« Une voix intense … une cantatrice hors du commun … une coloration originale » Pizzicato (Luxembourg)
En écoute trois morceaux du dernier album
Le mercredi 11 décembre 2019 à 20h à l’église de l’Etoile
54 Avenue de la Grande-Armée, 75017 Paris
(M° Argentine – Porte Maillot – ligne 1)
Entrée libre, sur réservation : anima.cie@gmail.com





Chanteuse mezzo-soprano d’origine russe, Sofia Falkovitch a étudié l’Art cantorial à la School of Sacred Music de l’Hebrew Union College de Jérusalem et au Abraham Geiger Kolleg de Berlin. Sofia est la première femme cantor (hazan) diplômée en Europe et la seule en France. Son répertoire embrasse la musique baroque, classique, romantique, ainsi que des compositions contemporaines. Passionnée par la musique yiddish, Sofia a créé « Le Sacre du Désert », un récital de chants yiddish. Artiste polyglotte parlant notamment le français, le russe, l’allemand, l’anglais, l’espagnol, l’hébreu et le yiddish, Sofia accorde une place importante au dialogue interculturel et inter-religieux dans son travail.
Tzigane de Serbie, formé en partie par la musique traditionnelle de son pays et par le conservatoire de Moscou, Jasko Ramic est un maître de l’accordéon. Sa carrière est celle d’un musicien de fêtes populaires mais aussi celle d’un soliste reconnu et récompensé par différents prix de concours internationaux. Il accompagne notamment la chanteuse roumaine Rona Hartner et a enregistré pour les Gipsy Kings.
Programme proposé par Anima et Cie, la Direction de l’Action culturelle du FSJU et l’Alimentation Générale
Loué par les musiciens, les auditoires et les critiques musicaux, Geza Hosszu-Legocky a été nominé à deux reprises aux Grammy Awards. Son talent exceptionnel pour la musique et sa capacité à transmettre ses émotions directement dans le cœur de son audience l’amène à travailler très tôt avec des légendes vivantes comme Martha Argerich, Mischa Maisky, Charles Dutoit, Ivry Gitlis. Il a également collaboré avec Yehudi Menuhin, Ruggiero Ricci, Ida Haendel, ou encore Michel Legrand dans la musique de film. Geza exploite toutes les voix de son violon, il est le fondateur des groupes de musique tzigane les 5 devils et Bohemian Virtuosi. Il joue un violon de « Lorenzo & Tomasso Carcassi » de 1766. 

Dans le cadre du festival
Stella Gutman a grandi dans l’ambiance, la langue et la culture judéo-espagnole.
Carpentras, Centre Culturel La Charité, 77 Rue Cottier, 84200 Carpentras
Le spectacle « Guila chante Rika », créé en 2015, met en scène et en chansons la carrière de Rika Zaraï depuis son arrivée en France au début des années soixante jusqu’aux années 2000.
« Confluence(s) » explore à travers la mélodie française différentes facettes des cultures juives. Ce récital est le fruit d’une recherche sur un répertoire méconnu et
d’une démarche de création artistique, mêlant mélodies folkloriques des pionniers d’Israël, œuvres du répertoire classique et musique contemporaine. Ces œuvres, chantées en français, hébreu, araméen ou yiddish, sont dues autant à des compositeurs célèbres qu’à des auteurs, juifs ou pas, hommes et femmes, souvent méconnus ou parfois oubliés.
Festival des Cultures Juives, 2018.