Dans le cadre du « Festival des Cultures Juives » : Le Bagel – Atelier culinaire
Intervenante : Anny Bloch, socio-anthropologue, spécialiste de la cuisine judéo-alsacienne et de la cuisine juive créole de la Nouvelle-Orléans, auteure du livre Une famille juive du temps de l’exode (Michel Houdiard éditeur, 2017)
A 11h30 au Cercle Bernard Lazare, 10 rue Saint-Claude, Paris 3e – 10 €
Réservations : 01 42 71 68 19 ou bernardlazare@noos.fr
Coordination Jeannine Franier et Annie Rapoport Rayski
Exposition en présence d’Hélène Feydy-Blondel, fille de l’artiste et de Marc Blondel, son fils, fondateur de l’association Les Amis de Blonder-Blondel.
Dans le cadre du « Festival des Cultures Juives » : Projection et rencontre
Jacques Faïtlovitch découvre les Juifs d’Ethiopie lors de sa première mission d’exploration en 1904. Le film retrace le parcours d’un personnage atypique à la recherche des tribus perdues.
Quel homme était-il ? Sa silhouette se dessine au travers d’interviews, de photos d’archives et de correspondances. C’est une traversée des cultures du monde du siècle dernier jusqu’à aujourd’hui, en passant par Lodz, Paris, Addis-Abeba, New York et Tel-Aviv. Lire la suite… →
Alessandra Berghino psychanalyste, praticienne à l’Espace analytique ; Elle est aussi docteur en histoire du judaïsme italien du XVIIIème siècle en Italie où elle est née. Elle a étudié avec Giovanni Lévi et Carlo Ginsbourg à Paris et a travaillé de nombreuses années à l’O.S.E où elle a créé, pour le centre Edith Kremsdorf, une chorale pour les personnes souffrant d’aphasie.
Max Kohn psychanalyste, membre de l’Espace analytique et de la Fondation Européenne pour la Psychanalyse, lauréat en 2006 et membre du jury du Prix Max Cukierman.
Guillaume Bertrand praticien en hypnose classique et ericksonienne. Après avoir commencé par le spectacle, il se consacre à la thérapie et à l’étude de l’hypnologie, de la psyché et des mécanismes humains. Il pousse ses recherches dans les traditions anciennes, spirituelles ou philosophiques, tout en les alliant avec les connaissances et les approches modernes et scientifiques. Le rêve, sa portée symbolique et sa fonction inconsciente font parties de ses thèmes de recherches. Il proposera quelques démonstrations et différents types d’approche, du phénomène hypnotique classique à l’hypnose ericksonienne en passant par le rêve éveillé dirigé.
L’école Ganenou (« Notre Jardin ») et l’Association des Parents d’Elèves organisent jeudi 8 juin 2017 à 19h45 un concert événement, initié bénévolement par Liat Cohen, guitariste classique.
Une soirée musicale d’exception pour aider les deux classes CM2 de l’école à financer leur voyage pédagogique en Israël. Lire la suite… →
L’exode, juin 1940. Yvonne Dockès n’a pas vingt ans. Avec ses parents, elle quitte les Vosges pour rejoindre Nîmes dans le Sud de la France. Tous trois voyagent dans leur Citroën, atteignent la Haute Loire et s’arrêtent à Saugues. Pour Yvonne et sa famille, cet arrêt dû au hasard, imposé par la débâcle, dure trois mois, de juin à septembre 1940. Yvonne écrit alors 150 recettes d’une écriture dense et régulière dans un petit carnet. Celui-ci va l’accompagner tout au long de de son existence, un repère, un guide. Dans l’exil, la mémoire des nourritures familiales reste un ancrage face au désarroi et à la faim. Lire la suite… →
« Ne vois-tu pas que ces signes s’ouvrent à nous comme des espoirs et qu’ils portent en eux la vie comme l’homme son âme ? Ne vois-tu pas que ces signes se lèvent et nous regardent à travers l’oubli, le temps aveugle et le devenir » (correspondance inédite) « Voir l’immensité interne, la libérer, comme un fakir au cirque tirant d’un petit anneau des dizaines de foulards… le dedans un trésor caché » (extraits du Journal de Thomas Gleb)Lire la suite… →
Alors que sa mère et sa sœur Hannah ont été assassinées dans un camp en janvier 1943 et que son père, peu après, a été assassiné dans le ghetto de Varsovie, Guta, née dans le ghetto en 1940 survivra grâce à un polonais qui la cachera et la traitera comme sa propre fille. Aidée par ce père d’adoption, elle se retrouve à Strasbourg dans les années soixante et entreprend des études supérieures. Elle s’y marie avec Claude, Juif marocain. Le couple aura deux enfants, Annouchka et Patricia. Puis c’est le Canada où la famille se retrouve à Ottawa. Au début des années 80, elle choisit de vivre ses dernières années en Israël, auprès de ses filles et de ses petits‐enfants.
Guta Tyrangiel Benezra, Le grand témoin du Cercil.
Dans son livre, L’Ombre des préjugés, récit autobiographique publié en 2014 par les éditions L’Harmattan, Guta dévoile son destin non par choix mais par nécessité…